" TOUTE CRITIQUE EST CRITIQUE DE L’ŒUVRE ET CRITIQUE DE SOI-MÊME ; POUR REPRENDRE UN JEU DE MOT DE CLAUDEL, ELLE EST CONNAISSANCE DE L’AUTRE ET CO-NAISSANCE DE SOI-MÊME AU MONDE. "
ROLAND BARTHES, ESSAIS CRITIQUES.
LES PRESSES
ENTRE LES RAYONS
2018
Une nuit entre danse et plaisir de lire…
« […] C’est dans la salle de lecture du 6e étage que les spectateurs ont eu rendez-vous avec la compagnie Pascoli, pour son spectacle “Lire en corps”, création inédite pour cette Nuit de la lecture.
Une dizaine d’extraits d’auteurs classiques ou contemporains ont été lus à voix hautes par le collectif Troisième bureau, accompagné du violoncelliste Olivier Gailly.
Les huit danseurs de la compagnie Pascoli utilisaient le mobilier et l’espace de la salle de lecture pour créer une chorégraphie illustrant les mots de Samuel Beckett, de Beyle Stendhal et autres écrivains.
En guise de bouquet final, il fallait jeter un coup d’oeil derrière les baies vitrées de la bibliothèque. Sur la façade de l’hôtel de la poste du maréchal Lyautey furent projetées des images des collections du fonds patrimonial de la bibliothèque, avec des extraits vidéos du film “Entre les rayons”, chorégraphie réalisée par la compagnie Pascoli, dans les rayons de diverses bibliothèques de la région.
Une nuit un peu magique, alliant art de la danse et plaisir de lire. »
Christophe CADET - Le Dauphiné Libéré - 22 janvier.
MOX 1380
2013
"(...) Rien n’est surligné. L'écriture chorégraphique est précise et ciselée. Métaphorique, elle évoque sans didactisme. Un solo sans gras, à vif jusqu'à l'os. (...)"
Christiane Dampne - Mouvement.net - Mai 2014
OUI
2011
"Véritable instalation plastique, la dernière création de la Compagnie Pascoli a surpris le spectateur avec la diffusion en entrée de spectacle d'un enrgistrement de "L'homme de merde" de Christophe Darcos, le poète qui transformait la langue en "pâte-mot". La chorégraphie qui a suivi se jouait, sorte d'écho à la "mastication verbale" du poète, de l'espace flouté par une multitude de tubes plexiglas savamment disposés pour déformer, fragmenter, étirer ou estomper les corps et les gestes des trois danseurs. Les jeux de lumière variant d'intensité et de couleurs, associés à une bande-son en parfaite osmose, complétaient cette chorégraphie qui a transporté le spectateur dans un monde irréel, hors du temps. A ce tableau magique se mêlait l'éxécution, par les danseurs, hors champ du spectre, de soli qui ont permis alors au spectateur, en contrepoint, de découvrir l'éxécution au cordeau de cette chorégraphie parfaitement ciselée, toujours en osmose avec la lumière et le son.
Une superbe création artistique de Anne-Marie Pascoli exécutée avec autant de talent par les trois danseurs que sont Anne-Marie Pascoli, Akiko Kajihara et Frédéric Labrosse."
Le Dauphiné Libéré - 16 février 2011
