" TOUTE CRITIQUE EST CRITIQUE DE L’ŒUVRE ET CRITIQUE DE SOI-MÊME ; POUR REPRENDRE UN JEU DE MOT DE CLAUDEL, ELLE EST CONNAISSANCE DE L’AUTRE ET CO-NAISSANCE DE SOI-MÊME AU MONDE. "

ROLAND BARTHES, ESSAIS CRITIQUES.

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LES PRESSES

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ET APRES?!

2001

"Et Après!? : Une Performance à Couper le Souffle.

(...) Sur scène, trois danseurs et un comédien maîtrisent leur sujet à la perfection : le corps. Une démonstration éblouissante.

(...) Impressionnant, voilà le mot qui caractérise le mieux la prestation, ou plus justement la performance offerte par les danseurs de la Compagnie Pascoli dans Et Après !?.

(...) Silence dans la salle, la musique fellinienne de carrousel, mi-entraînante, mi-angoissante, s'est tue, le comédien aussi. Le public retient son souffle pour profiter au mieux de la beauté qui émane de la scène."

Laurence Buffie - Le Progrès, Lyon - 22 novembre 2002


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LA STRATEGIE DE LA TAUPE

2000

« Fondée sur l’aveuglement des danseurs, La Stratégie de la Taupe ouvre une étrange brèche dans notre regard sur la danse.

(…) Le solo est impressionnant dans sa précision légère, le duo époustouflant dans la rencontre des corps, sûrs, en parfaite connaissance, le trio plus abstrait rend palpable l’espace, comme si leur aveuglement rendait le spectateur plus clairvoyant.

(…) Anne-Marie Pascoli réaffirme l’intelligence du mouvement, autant comme moyen de perception direct que comme prolongation intelligente du corps. Bref, de la danse contemporaine ! »

Martin C., L & A Théâtre, Paris,  Septembre 2000



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BA'AL BÊLIT OU LE REFLET DE LA MATIÈRE

1999

"(...) Quand on laisse la raison au corps, les significations des gestes disparaissent au profit de leurs virtualités. L'échange permanent entre les corps et l'espace sonore qui passe de l'incantation, au chuchotement, de la transe au presque rien, au cliquetis : tout concourt à comprendre cette chorégraphie, non sous l'aune de quelque critérium de la suprème cohérence, mais au contraire à travers un certain lacher-prise. Tels ces états méditatifs devant le "spectacle du monde". Tout y est pluriel et éphémère. A peine vivant, on est déjà mort, puis autre, puis mort pour renaître indéfiniment, diversement. Danse animale, deconstruite, minimale, grotesque... (...)"

Nicolas Mircovich - Le Petit Bulletin - 1998

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