" TOUTE CRITIQUE EST CRITIQUE DE L’ŒUVRE ET CRITIQUE DE SOI-MÊME ; POUR REPRENDRE UN JEU DE MOT DE CLAUDEL, ELLE EST CONNAISSANCE DE L’AUTRE ET CO-NAISSANCE DE SOI-MÊME AU MONDE. "

L'ANGELIQUE

1992

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" Avec A-M. Pascoli, les corps se brisent et se ressoudent sans casse. Passages au sol légèrement glissés, enlacements qui jouent de l'art de l'esquive et du corps à corps, cassures des coudes et des poignets comme autant de lignes brisées.

A-M. Pascoli travaille une danse qui ignore la verticalité et force le corps à trouver de nouveaux points d'équilibre, inattendus, subtils et multiples."

Libération - Mai 1992

NOIR D'Y VOIR ET BLANC DE DINGUE

1991

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"Les matières sont nombreuses, assez précieuses pour qu'elles prennent sens ensemble...Un rituel étrange qui confirme, surtout par la qualité gestuelle, qu'A-M. Pascoli cherche à trouver ce juste équilibre entre légèreté et gravité du propos..."

Lyon Libération - Mars 1990

LA TRAHISON D'ANNA

1989

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"La trahison d'Anna" assure une carrière chorégraphique à la Compagnie Pascoli. C'est bien en direction d'un acte de création totale qu'il convient de chercher les mobiles du plaisir à se laisser envoûter. Tout se dessine avec une déroutante facilité mais également tout se révèle d'une grande assurance et maturité derrière lesquelles ne peuvent se dissimuler les qualités techniques de chaque danseur et danseuse. Il n'existe aucune concession avec quelques produits de catalogue que ce soit, et c'est tant mieux. Un style apparemment sauvé des incertitudes de la gestation s'offre en spectacle avec ses règles et ses aptitudes à fabriquer de la délicatesse. Et qui plus est du charme. Pour notre bon plaisir. En toute sérénité."

M. Jayet - Le Dauphiné Libéré - 27 mai 1989